• Effect of cotrimoxazole on mortality in HIV-infected adults on antiretroviral therapy: a systematic review and meta-analysis Systematic Reviews

    Suthar, Amitabh B; Granich, Reuben; Mermin, Jonathan; Van Rie, Annelies

    Resumo em Russo:

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    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Déterminer si le cotrimoxazole réduit la mortalité des adultes de publication a été évalué à l'aide des tests d'Egger et de Begg. Une recevant une thérapie antirétrovirale (TAR) contre l'infection par le virus analyse de sensibilité a été effectuée, car la statistique I-carré indiquait de l'immunodéficience humaine (VIH) dans les pays à revenu faible et une hétérogénéité importante des résultats de l'étude. Un modèle à moyen, par un examen systématique et une méta-analyse. effets aléatoires a été utilisé pour la méta-analyse. MÉTHODES: On a cherché dans PubMed et Embase des essais contrôlés RÉSULTATS: Neuf études ont été incluses. Les valeurs P de Begg et Egger randomisés et des études de cohorte prospectives et rétrospectives pour les sept études rapportant l'effet du cotrimoxazole sur la mortalité comparant la mortalité ou la morbidité chez des individus âgés de 13 ans étaient de 0,29 et de 0,49, respectivement, suggérant l'absence de biais et plus, infectés par le VIH, sous cotrimoxazole et TAR, et uniquement sous de publication. La statistique I-carré était de 93,2%, indiquant une forte TAR. L'échelle d'évaluation de qualité Newcastle-Ottawa a été utilisée hétérogénéité des résultats de l'étude. L'analyse de sensibilité a montré pour évaluer les biais de sélection, de confusion et de mesure. Le biais que ni la durée du suivi ni le pourcentage de personnes atteintes par le VIH au stade 3 et 4 de l'Organisation mondiale de la Santé, au moment de référence, n'expliquaient l'hétérogénéité. L'estimation sommaire de l'effet du cotrimoxazole sur le taux d'incidence des décès était de 0,42 (intervalle de confiance de 95%: 0,29-0,61). Comme la plupart des études avaient suivi les participants pendant moins d'un an, il n'était pas possible de déterminer si l'administration de cotrimoxazole pouvait être interrompue en toute sécurité après reconstitution immunitaire induite par le TAR. CONCLUSION: Le cotrimoxazole augmentait significativement la survie des adultes infectés par le VIH sous traitement antirétroviral. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour définir la durée optimale du traitement par cotrimoxazole chez ces patients.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Determinar si cotrimoxazol reduce la mortalidad en adultos que reciben tratamiento antirretrovírico (TAR) para el virus de la inmunodeficiencia humana (VIH) en países de ingresos bajos y medios través de un examen sistemático y un metaanálisis. MÉTODOS: Se realizó una búsqueda en PubMed y Embase para evaluar los ensayos aleatorizados controlados y los estudios de cohortes prospectivos y retrospectivos en los que se comparaban la mortalidad o la morbilidad en personas infectadas por el VIH con edades >13 años en tratamiento con cotrimoxazol y TAR, y solo con TAR. Se utilizó la Escala de Evaluación de la Calidad de Newcastle-Ottawa para evaluar el sesgo de selección, de confusión y de medición. El sesgo de publicación se evaluó mediante los tests de Egger y Begg. Se llevó a cabo un análisis de sensibilidad debido a que la estadística I-cuadrado indicó una heterogeneidad significativa en los resultados del estudio. El metanálisis siguió un modelo de efectos aleatorios. RESULTADOS: Se incluyeron nueve estudios. Los valores de P de Begg y Egger para los siete estudios que recogieron el efecto de cotrimoxazol sobre la mortalidad fueron de 0,29 y 0,49, respectivamente, lo que sugiere que no existe sesgo de publicación. La estadística I-cuadrado fue del 93,2%, lo que indica una alta heterogeneidad en los resultados de los estudios. El análisis de sensibilidad mostró que dicha heterogeneidad no se debe ni a la duración de seguimiento ni al porcentaje de individuos con enfermedad por el VIH en los estadios 3 o 4 según la Organización Mundial de la Salud al inicio del estudio. La estimación global de los efectos del cotrimoxazol sobre la tasa de incidencia de la muerte fue de 0,42 (intervalo de confianza del 95%: 0,29-0,61). Dado que la mayoría de los estudios realizaron un seguimiento de los participantes durante menos de 1 año, no fue posible determinar la posibilidad de suspender la administración de cotrimoxazol sin peligro después de la restauración inmunitaria inducida por la TAR. CONCLUSIÓN: Cotrimoxazol aumentó significativamente la supervivencia en adultos infectados por el VIH que recibieron TAR. Es preciso llevar a cabo investigaciones adicionales con el objetivo de determinar la duración óptima del tratamiento con cotrimoxazol en estos pacientes.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To determine whether cotrimoxazole reduces mortality in adults receiving antiretroviral therapy (ART) for human immunodeficiency virus (HIV) infection in low- and middle-income countries through a systematic review and meta-analysis. METHODS: PubMed and Embase were searched for randomized controlled trials and prospective and retrospective cohort studies that compared mortality or morbidity in HIV-infected individuals aged > 13 years on cotrimoxazole and ART and on ART alone. The Newcastle- Ottawa Quality Assessment Scale was used to assess selection, confounding and measurement bias. Publication bias was assessed using Egger's and Begg's tests. Sensitivity analysis was performed because the I-squared statistic indicated substantial heterogeneity in study results. A random-effects model was used for meta-analysis. FINDINGS: Nine studies were included. Begg and Egger P-values for the seven that reported the effect of cotrimoxazole on mortality were 0.29 and 0.49, respectively, suggesting no publication bias. The I-squared statistic was 93.2%, indicating high heterogeneity in study results. The sensitivity analysis showed that neither the follow-up duration nor the percentage of individuals with World Health Organization stage 3 or 4 HIV disease at baseline explained the heterogeneity. The summary estimate of the effect of cotrimoxazole on the incidence rate of death was 0.42 (95% confidence interval: 0.29-0.61). Since most studies followed participants for less than 1 year, it was not possible to determine whether cotrimoxazole can be stopped safely after ART-induced immune reconstitution. CONCLUSION: Cotrimoxazole significantly increased survival in HIV-infected adults on ART. Further research is needed to determine the optimum duration of cotrimoxazole treatment in these patients.

    Resumo em ch:

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    Resumo em Árabe:

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  • Prevalence and determinants of common perinatal mental disorders in women in low- and lower-middle-income countries: a systematic review Systematic Reviews

    Fisher, Jane; Mello, Meena Cabral de; Patel, Vikram; Rahman, Atif; Tran, Thach; Holton, Sara; Holmes, Wendy

    Resumo em Russo:

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    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Étudier la preuve de la prévalence et des déterminants des troubles mentaux périnataux communs (TMPC) non psychotiques dans les pays à revenu faible et moyen, selon les catégories de la Banque mondiale. MÉTHODES: Des recherches systématiques ont été effectuées dans les principales bases de données afin de trouver des publications en anglais sur la prévalence des TMPC non psychotiques et sur leurs facteurs de risque et déterminants. Tous les protocoles d'études ont été inclus. RÉSULTATS: Treize articles, couvrant 17 pays à revenu faible et moyen, ont fourni des résultats sur les femmes enceintes, et 34 sur les femmes qui venaient d'accoucher. Les données sur les troubles pendant la période prénatale étaient disponibles pour 9 pays (8%), et sur les troubles pendant la période postnatale pour 17 pays (15%). La prévalence moyenne pondérée était de 15,6% (intervalle de confiance de 95%, IC: 15,4-15,9) du point de vue prénatal, et de 19,8% (19,5-20,0) du point de vue postnatal. Les facteurs de risque étaient les suivants: des problèmes socioéconomiques (variation du rapport des cotes [RC]: 2,1-13,2); une grossesse non désirée (1,6-8,8); le fait d'être trop jeune (2,1-5,4); le fait de ne pas être mariée (3,4-5,8); le manque de soutien et d'empathie de la part du partenaire (2,0-9,4); des beaux-parents hostiles (2,1-4,4); un partenaire violent (2,11-6,75); un soutien émotionnel et pratique insuffisant (2,8-6,1); et dans certains cas, donner naissance à une fille (1,8-2,6) et avoir des antécédents de problèmes de santé mentale (5,1-5,6). Les facteurs protecteurs étaient les suivants: avoir fait plus d'études (risque relatif: 0,5; P = 0,03); avoir un emploi permanent (RC: 0,64; IC de 95%: 0,4-1,0); être issue de la majorité ethnique (RC: 0,2; IC de 95%: 0,1-0,8) et avoir un partenaire attentionné et digne de confiance (RC: 0,52; IC de 95%: 0,3-0,9). CONCLUSION: Les TMPC ont une prévalence plus élevée dans les pays à revenu faible et moyen, en particulier chez les femmes plus pauvres présentant des antécédents psychiatriques ou des risques liés au genre.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Examinar las pruebas clínicas acerca de la prevalencia y los determinantes de los trastornos mentales perinatales frecuentes (TMPF) no psicóticos en los países de ingresos bajos o medios-bajos según la clasificación del Banco Mundial. MÉTODOS: Se examinaron de forma sistemática bases de datos importantes en busca de publicaciones en inglés acerca de la prevalencia de TMPF no psicóticos, así como sus determinantes y factores de riesgo. Se incluyeron todos los diseños de estudios. RESULTADOS: Trece documentos que abarcaban 17 países de ingresos bajos y medios-bajos proporcionaron resultados para mujeres embarazadas, y 34, para mujeres que acababan de dar a luz. Existían datos acerca de los trastornos durante el periodo prenatal para 9 países (8%), y sobre los trastornos durante el periodo postnatal para 17 países (15%). La prevalencia media ponderada fue del 15,6% (intervalo de confianza [IC] del 95%: 15,4-15,9) en el periodo prenatal y del 19,8% (19,5-20,0) en el periodo postnatal. Los factores de riesgo fueron: desventajas socioeconómicas (razón de posibilidades [OR]: 2,1-13,2); embarazo no deseado (1,6-8,8); juventud de la madre (2,1-5,4); no estar casada (3,4-5,8); ausencia de empatía y apoyo por parte de la pareja (2,0-9,4); familia política hostil (2,1-4,4); sufrir violencia por parte de la pareja (2,11-6,75); apoyo emocional y práctico insuficiente (2,8-6,1); en algunos entornos, dar a luz a una niña (1,8-2,6), y tener antecedentes de problemas de salud mental (5,1-5,6). Los factores de protección fueron: mayor educación (riesgo relativo: 0,5; P=0,03); tener un trabajo estable (OR: 0,64; IC del 95%: 0,4-1,0); pertenecer a una mayoría étnica (OR: 0,2; IC del 95%: 0,1-0,8) y tener una pareja amable y de confianza (OR: 0,52; IC del 95%: 0,3-0,9). CONCLUSIÓN: Los TMPF presentan una prevalencia mayor en países con ingresos bajos y medios-bajos, en particular, entre las mujeres más pobres con riesgos relacionados con el género o con antecedentes psiquiátricos.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To review the evidence about the prevalence and determinants of non-psychotic common perinatal mental disorders (CPMDs) in World Bank categorized low- and lower-middle-income countries. METHODS: Major databases were searched systematically for English-language publications on the prevalence of non-psychotic CPMDs and on their risk factors and determinants. All study designs were included. FINDINGS: Thirteen papers covering 17 low- and lower-middle-income countries provided findings for pregnant women, and 34, for women who had just given birth. Data on disorders in the antenatal period were available for 9 (8%) countries, and on disorders in the postnatal period, for 17 (15%). Weighted mean prevalence was 15.6% (95% confidence interval, CI: 15.4-15.9) antenatally and 19.8% (19.5-20.0) postnatally. Risk factors were: socioeconomic disadvantage (odds ratio [OR] range: 2.1-13.2); unintended pregnancy (1.6-8.8); being younger (2.1-5.4); being unmarried (3.4-5.8); lacking intimate partner empathy and support (2.0-9.4); having hostile in-laws (2.1-4.4); experiencing intimate partner violence (2.11-6.75); having insufficient emotional and practical support (2.8-6.1); in some settings, giving birth to a female (1.8-2.6), and having a history of mental health problems (5.1-5.6). Protective factors were: having more education (relative risk: 0.5; P = 0.03); having a permanent job (OR: 0.64; 95% CI: 0.4-1.0); being of the ethnic majority (OR: 0.2; 95% CI: 0.1-0.8) and having a kind, trustworthy intimate partner (OR: 0.52; 95% CI: 0.3-0.9). CONCLUSION: CPMDs are more prevalent in low- and lower-middle-income countries, particularly among poorer women with gender-based risks or a psychiatric history.

    Resumo em ch:

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    Resumo em Árabe:

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